Confessionnaux
Réalisés dans les Marbreries du Boulonnais lors de la restauration de l’église en 1957/1958, sur des plans datés du 24 mai 1958, à la demande du RP Henry Delpierre. Une petite lumière située au mur de l’église au-dessus de chaque lieu de confession s’allume au moyen d’un interrupteur placé à l’intérieur de la cabine du confessionnal, pour signifier la présence du prêtre en attente de pénitent à confesse. Une loge latérale « ouverte » est placée de chaque côté de la cabine du confessionnal. Chaque loge est formée d’une assise en bois fixée dans les montant de pierre des façades de la cabine (isoloir) du prêtre. Ces loges latérales permettent aux fidèles de s’asseoir pour se confesser. Une grille en bois en losanges, évoquant un moucharabieh, richement travaillée, avec un volet occultant coulissant permet au confesseur d’occulter une des 2 grilles pour ne confesser qu’une personne à la fois. L’assise du confesseur est constituée d’un banc de bois placé perpendiculairement aux bancs des pénitents, pour permettre au prêtre de n’avoir qu’à tourner la tête à droite ou à gauche, et ne pas avoir à se retourner, en changeant d’interlocuteur. De part et d’autre du banc du confesseur, à l’intérieur de la loge, est fixé un accoudoir en bois, sous chaque grille de confession.