MENUMENU
- Accueil
- SE SOUVENIR
- Préambule
- Histoire
- Œuvres en héritage
- Artistes & Architectes
- Archives
Les tuyaux de Montre
- VIVRE
- TRANSMETTRE
- Membres
- Boutique
- Liens utiles
- ?
Samedi 17 juillet, 20h30, église du Christ Ressuscité, 9 rue du Château, Wimereux
Concert :
Franco Canta : chants traditionnels napolitains, accompagnés à la guitare par l’artiste.
Participation libre au profit de la restauration de l’église de l’immaculée Conception
Pour permettre la tenue d’un cahier de suivi (non obligatoire) dans le cadre de la pandémie, il est possible de s’inscrire préalablement en ligne (en cliquant sur le bouton PARTICIPER), ou par mail ou par téléphone (06 85 52 59 77).
La chanson classique napolitaine est un répertoire musical développé à Naples dans la première partie du XIXème siècle jusqu’à décliner vers 1970. Ce répertoire prend sa racine dans la chanson populaire napolitaine qui commence à émerger autour du XIIIème siècle. Certaines chansons de ce répertoire ont acquis une renommée internationale comme « O Sole Mio », « Funiculi funicula » ou encore « Santa Lucia » et sont devenues en quelque sorte des symboles de l’Italie à l’étranger.
Accompagné à la guitare classique et avec sa voix de baryton, Franco Canta souhaite rendre hommage à ce répertoire riche et varié, dans un registre aussi bien lyrique que plus léger et en interprétant des chansons exprimant différentes émotions… allant de la joie à la mélancolie.
Construite en 1974 à Wimereux, dans le quartier du Baston, la petite église du Christ-Ressuscité ouvre ses portes pour ce moment culturel, afin de venir au secours de sa grande sœur, en soutenant une action qui vise à promouvoir la restauration de cette dernières, l’église de l’Immaculée Conception.
Attardons nous un peu sur l’église du Christ-Ressuscité : de style inspiré du mouvement Bauhaus, quasiment monolithique en parallélépipède rectangle, elle est faite de panneaux de béton dans lesquels sont incrustés des claustra colorés qui laissent rentrer la lumière du soleil ; sa magnifique verrière abstraite (de François Chapuis) provient du couvent des Soeurs de Sainte Agnès d’Arras, et son « clocher », qui a la particularité d’être à l’écart de l’église, est construit sur un blockhaus de la seconde Guerre mondial ; il précède une immense croix de bois brut qui se dresse vers le ciel depuis le sommet de ce dernier. A l’intérieur de l’église, on découvre plusieurs oeuvres de Nicole Hémard…
Bien entendu, cet événemet se déroulera dans le plus grand respect des normes sanitaires du moment dans le cadre de la pandémie de COVID-19.